La commune de St Michel l’Observatoire est connue depuis 1946 comme un haut lieu de l’astronomie française. En 1998, le centre départemental d’astronomie a été ouvert afin de proposer des activités culturelles autour de l’astronomie : observations du soleil, soirée découverte, nuits des perséides…
La CCHPPB a décidé de construire un planétarium sur le site du Centre d’Astronomie afin de compléter l’offre proposée par celui-ci et répondre à la demande des nombreux touristes.
Coût de l’opération : 2 200 000 €
Financements obtenus : Conseil régional 1 000 000 €, Etat 50 000 €, Fondation du Crédit Agricole : 50 000 € et Etat (DETR) 400 000 €
La communauté de communes Haute Provence Pays de Banon (Alpes de Haute Provence – France) en partenariat avec la commune de NUS (Vallée d’Aoste en Italie) a été retenue dans le cadre d’un projet européen INTERREG ALCOTRA pour son projet :
EXO-ECO, EXOPLANETES – ECOLOGIE : le ciel et les étoiles des Alpes, patrimoine immatériel de l’Europe.
Voir les sites internets des partenaires du projet :
La Communauté de communes Haute-Provence Pays de Banon dispose de nombreux sentiers de randonnées avec des niveaux de difficultés différents permettant de répondre à la demande des familles mais également des randonneurs expérimentés.
Ces sentiers nécessitent un entretien à la fois du débroussaillage et un peu de terrassement pour certains. Ils doivent être balisés et la signalétique doit être entretenue ou refaite.
Coût de l’opération : 38 032 €
Financements obtenus : Département 19 016 €
La Communauté de communes Haute-Provence Pays de Banon dispose de nombreux atouts touristiquesavec le Prieuré de Salagon et le Château de Sauvan à Mane, le Centre d’Astronomie et L’Observatoire de Haute Provence à St Michel l’observatoire, l’abbaye de Valsaintes à Simiane-la Rotonde….
L’opération va consister dans la mise en place d’un outil nomade et polyvalent de découverte et d’immersion dans le territoire combinant des guides touristiques ludiques et originaux.
Grâce à une application Web, à des contenus évolutifs en fonction de la géolocalisation ou accessibles par QR code et un système de guidage intégré, ce dispositif permettra de découvrir chaque commune avec des parcours ludiques et attractifs, des contenus variés (vidéo, audio, texte, jeux, quizz, accompagnement sonore, réalité augmentée…
Coût : 40 000 € HT
Financements : Région 16 000 € / FNADT 16 000 €
La CCHPPB a procédé à l’acquisition d’un immeuble à REILLANNE, cours Thierry d’Argenlieu.
Le projet porte sur la réhabilitation énergétique du bâtiment avec un commerce au rez-de-chaussée et deux logements T3 dans les étages.
Coût de l’opération : 355 000 € – Financements sollicités : Etat(DETR) et Région
Deux ateliers pour des artisans et des logements seront construits à St Martin-les-Eaux afin de répondre aux nombreuses demandes.
Les trois bâtiments prévus vont s’insérer dans la partie haute du village.
Coût de l’opération : 800 000 € HT – Financements obtenus : Conseil régional 150 000 € – Financement sollicité : État (DETR) 300 000 €.
La CCHPPB a entreprise depuis plusieurs années de réimplanter des commerces de proximité dans ses communes qui en sont dépourvues afin de répondre à la demande de la population mais également des touristes qui affluent sur notre territoire.
C’est à VILLEMUS que la Communauté de communes a décidé d’aménager un commerce multiservices d’une surface de 75 m².
Coût de l’opération : 595 000 € HT – Financements obtenus : Europe (FEADER) 53 374,11 €, Région Sud 80 000 € et Département des A.H.P 40 000 €.
La CCHPPB souhaite soutenir le développement économique du pays de Banon qui a fortement souffert de la démilitarisation du plateau d’Albion.
Aussi, elle a procédé à l’acquisition d’un bâtiment d’une surface de 630 m² qui dispose en toiture de piles photovoltaîques.
L’aménagement du bâtiment doit permettre l’accueil d’une entreprise qui fabrique du vinaigre balsamique.
Coût de l’opération : 1 367 302 € HT
Financements obtenus : Région : 300 000€ / Etat – DETR : 275 000€ / Etat – Fonds vert : 360 000 €
St Martin-les-Eaux dispose d’une source d’eau sulfureuse qui ft un remps (de 1893 à 1939) exploitée pour ses vertus de cure.
La Communauté de communes Haute-Provence Pays de Banon souhaite créer un tourisme thermal et a entrepris de réaliser des sondages d’eau sulfurée pour transformer celui-ci en ouvrage d’exploitation thermal.
Coût de l’opération : 240 000 €Financement obtenu : 87 000 € de l’État au titre de la Dotation d’Équilibre des Territoires Ruraux.
Le tonnage des ordures ménagères résiduelles avoisine environ 2500 tonnes pour 2020. Celui des déchets triés par apport volontaire (hors déchetterie) est d’environ 761 tonnes pour 2020.
L’étude doit permettre l’analyse amont des conséquences d’un passage à la Tarification Incitative sur l’ensemble du territoire d’un point de vue technique, financier et organisationnel.
Coût : 34 500 € HT
Financements obtenus :
L’objectif du projet consiste à informer et sensibilise la population du territoire à la réduction des déchets et à promouvoir le tri.
Le projet s’articule autour de deux volets :
⇒ Une campagne de communication active sur le recyclage et le zéro déchets :
– Organisation d’un défi familles zéro déchet
– Réalisation de reportages sur BFM DICI
– Animations pédagogiques dans les écoles et associations
– Presse écrite, site internet.
– Distribution de matériel de tri (sacs de tri, composteurs, guide de tri…)
⇒ Organisation d’une fête autour du “défi familles zéro déchet”
Coût de l’opération : 87 383,04 € HT
Financements : Europe : 41 943,85 € / Région : 27 962,57 €
Dans la continuité des travaux à la déchèterie de BANON, la CCHPPB a décidé de construire les garages et ateliers afin de regrouper sur un même lieu les camions de collecte des déchets.
Le bâtiment d’une surface de 349,65 m² sera construit afin d’accueillir les garages pour les véhicules de collecte ainsi qu’un atelier.
L’aménagement des abords du bâtiment, accès et parking seront réalisés.
Le bâtiment sera équipé de panneaux photovoltaïques en toiture afin de produire de l’électricité.
Cout de l’opération : 558 000 € HT
Financement obtenu : Etat – DETR 167 400 €
La déchèterie de BANON est située dans un lieu stratégique qui répond à la demande des usagers de tout un territoire.
Elle nécessite des aménagements afin qu’elle soit plus fonctionnelle. La volonté de la CCHPPB est de rationaliser les équipements sur le territoire et d’inciter la population au tri sélectif, de faciliter le geste de tri.
Coût de l’opération : 880 000 € – Financements obtenus : Région Sud 264 000 €.
La CCHPPB a pour objectif la réduction de la production des déchets sur son territoire.
A l’heure actuelle deux modes de fonctionnement persistent : un fonctionnement en régie sur le territoire de l’ancienne communauté de Haute Provence et un fonctionnement avec le SYDEVOM pour l’ancienne Communauté du Pays de Banon.
De plus, la Communauté de Haute Provence a bénéficié de 2010 à 2015 d’un programme européen LIFE+ “CCHP envir challenges” avec la pose de colonnes semi-enterrées qui a donné de très bons résultats en matière de tri sélectif avec une augmentation de 40% du tri et une réduction des déchets de 12%.
La CCHPPB entend harmoniser son fonctionnement sur tous le territoire avec l’acquisition et l’installation de colonnes semi-enterrées et/ou enterrées sur le territoire du Pays de Banon.
Coût de l’opération : 1 000 000 € – Financements obtenus : Région Sud 300 000 €
La CCHPPB a entrepris, depuis plusieurs années, une politique de réduction de la production de ses déchets en incitant la population au tri sélectif avec l’acquisition et l’installation de colonnes semi-enterrées.
Parallèlement, elle souhaite mettre en place un dispositif de contrôle de remplissage des colonnes afin d’éviter les déplacements inutiles des camions de collecte.
Ainsi, chaque colonne de déchets sera équipée d’une sonde qui permettra de mesurer son niveau de remplissage. Une application permettra de communiquer avec les sondes et la tournée de collecte optimale sera mise en place.
Coût de l’opération : 284 000 €
Financement obtenu : Europe (FEDER) 198 000 €.
La Communauté de commune Haute-Provence Pays de Banon souhaite acquérir un camion de collecte des déchets .
L’objectif est d’uniformiser la gestion des déchets sur tout le territoire de la CCHPPB en installant des colonnes semi-enterrées sur la partie nord du territoire, le pays de Banon et à terme de parvenir à une gestion en régie en de la collecte par la CCHPPB.
L’acquisition d’un camion de ramassage des ordures ménagères spécifique permettra de collecter de manière sélective les emballages et le papier, le verre, les bio déchets et les déchets ultimes.
Coût du projet : 250 000 €
Financement obtenu : 60 700 € de l’État au titre de la Dotation d’Équilibre des territoires Ruraux
La CCHPPB dispose de trois crèches sur son territoire à Mane, Reillanne et Revest du Bion. Elles font l’objet d’une forte demande et ne parviennent pas à répondre aux attentes des parents.
Aussi, la CCHPPB, en partenariat avec la CAF, a décidé de réaliser une crèche intercommunale à St Michel l’Observatoire d’une capacité de 20 places ainsi que d’un relais d’assistantes maternelles.
Le bâtiment sera classée Bâtiment Durable Méditerranéen avec un niveau de performances énergétiques élevées.
Coût de l’opération : 1 500 000 €
Financements obtenus : Région Sud 330 000 €, Etat (DETR) 330 000 €, Département des AHP : 131 576 €, Europe (FEADER) 90 485,96 €, CAF 650 000 €
La Communauté de Communes haute-Provence Pays de Banon a entrepris de construire une crèche à St Michel l’Observatoire et en rez-de-jardin des locaux pour une maison de santé afin de répondre à la demande de la population.
Coût de l’opération : 150 000 € HT
Financements obtenus : État (DETR) 45 000 €
La Communauté de communes a procédé à l’acquisition de l’immeuble cadastré section F n°142.
Le projet porte sur la réhabilitation, rénovation intérieure et redistribution de ce bâtiment dit maison FONTES, situé en plein cœur de REILLANNE, sur le cours d’Argenlieu.
Aujourd’hui, le bâtiment est composé de deux logements qui ne disposent pas d’un confort adapté à leur usage, les espaces sont à rénover lourdement (plancher/cloisonnement), les fenêtres à changer, une isolation à apporter pour créer des T3 confortables et un commerce en rez-de-chaussée.
Coût : 355 000 € HT – Financement obtenu : Région 106 500
Il s’agit d’une étude sur les 21 communes de la CCHPPB en vue de proposer à la suite d’un diagnostic, une opération sur 5 ans visant à la réhabilitation de logements anciens (Immeubles et maisons individuelles privées) avec des aides financières.
Coût de l’étude : 80 000 €Financements obtenus : 40 000 € de l’ANAH et 12 000 € du Département
Cinq villages élaborent ensemble leurs Plans Locaux d’Urbanisme (PLU)
A quoi sert un document d’urbanisme communal (POS ou PLU) ?
– À déterminer les règles à partir desquelles sont instruits les permis de construire et les déclarations de travaux;
– À fixer l’emplacement des futures voiries et équipements publics;
– À à instituer des protections (milieu naturel, patrimoine bâti).
Pourquoi mettre en chantier un PLU dans une commune ?
La plupart des communes disposent d’un Plan d’Occupation des Sols (P.O.S.) établi dans les années 90 ou en tout début des années 2000. Ces POS ont permis une évolution raisonnable de nos villages depuis une quinzaine d’années mais ne répondent plus aux obligations légales actuelles notamment celles qui découlent du Grenelle de l’Environnement.
Saint Martin-les-Eaux n’ayant pas de POS, c’est le Règlement National d’Urbanisme (R.N.U.) qui s’y applique. Ce RNU interdit a priori toute construction qui ne serait pas en continuité du bâti existant et attribue au préfet plutôt qu’au maire la décision d’autoriser ou non les constructions et aménagements.
Dans tous les cas, pour une commune, établir un P.L.U. est l’occasion de repenser son projet pour répondre au mieux aux besoins de ses habitants actuels ou futurs, de son économie agricole et de plus en plus artisanale et industrielle avec par exemple le parc de Pitaugier à Mane, et pour préserver et mettre en valeur son patrimoine paysager, écologique et bâti.
Des PLU construits dans le cadre de la Communauté de Haute-Provence
Pour élaborer leur PLU, Dauphin, Mane, Montjustin, Saint Martin-les-Eaux et Saint Michel l’Observatoire ont décidé fin 2015 de se coordonner leur travail
Les enjeux d’un P.L.U sur le territoire intercommunal ?
Parce que nous partageons beaucoup d’enjeux identiques (quelques exemples : une bonne part du développement économique dans la Communauté s’appuie sur le parc intercommunal de Pitaugier, les crèches de Reillanne et Mane accueillent les jeunes enfants de toutes les communes, nos paysages s’entrecroisent : de Mane on voit Dauphin, de Dauphin on voit Saint Michel-l’Observatoire, …) à le PLU d’une de nos communes ne peut donc s’élaborer qu’en tenant compte des autres communes et le plus possible avec elles.
Parce que du point de vue environnemental, essentiel dans les PLU d’aujourd’hui, nous partageons largement le même terrain.
Parce qu’en mettant nos efforts en commun, nous bénéficierons d’un document de meilleure qualité pour un coût sensiblement plus faible.
Les trois autres communes de la communauté poursuivent de leur côté un travail qu’elles avaient engagé préalablement.
Le P.L.U : Un diagnostic avant le projet
La 1ère phase consiste à établir un diagnostic, c’est à dire repérer les points forts et les points faibles de nos communes, et déterminer les enjeux importants pour nos PLU communaux.
Commencé début mars dès que G2C a été choisi pour nous aider, cette phase s’est terminée en septembre 2016 où nous avons recueilli les avis des Personnes Publiques Associées : État, Région, Département, chambres consulaires, Parc naturel du Luberon, communautés voisines, etc..
Le travail des communes : les projets des PLU
Sur ces bases, chaque commune définit alors son projet. Dans les PLU, cela s’appelle le « PADD » Projet d’Aménagement et de Développement Durables :
Aménagement Durable : cela va de soi pour un PLU, on définira les grandes options en matière de logements, de foncier économique, de voirie, … comme dans un POS
Développement Durable : c’est plus nouveau par rapport à un POS, on décidera des principes généraux à respecter pour préserver au mieux l’environnement tout en permettant le développement souhaitable sur les plans économique et social, ce qu’on appelle le développement durable.
Ces PADD communaux élaborés en parallèle sont enrichis par les projets que les communes portent en commun.
Les dernières étapes du projet : Un zonage et une règlementation
La dernière phase consistera en la construction des zonages (U=Urbain, A=Agricole, N=Naturel, AU= à aménager), et des règlements pour chacune des zones.
Concernant les zones AU ou certaines au moins, des Orientations d’Aménagement et de Programmation (OAP) définiront assez précisément les caractéristiques de ces zones en vue de leur aménagement futur.
PLAN LOCAL D’URBANISME DE VILLEMUS
Le Plan Local d’Urbanisme de VILLEMUS a été arrêté
Vous trouverez toutes les informations en cliquant ICI
Les informations relatives à ce dossier peuvent également être demandées auprès de la mairie de Villemus au 04.92.76.44.72.
PLAN LOCAL D’URBANISME DE MANE
Le Plan Local d’Urbanisme (P.L.U) de Mane a été arrêté en conseil municipal le lundi 13 août 2018, il est consultable ICI
ou sur le site www.geoportail-Urbanisme
Suite à l’enquête publique qui a eu lieu du 11 mars au 12 avril 2019 vous pouvez consulter ci-dessous :
– rapport d’enquête publique
– conclusions motivées de l’enquête publique
PLAN LOCAL D’URBANISME DE MONTJUSTIN
Le plan Local d’Urbanisme de MONTJUSTIN a été arrêté par le conseil municipal le 22/06/2020.
Vous trouverez toutes les informations en cliquant ICI